Considéré pendant longtemps comme la référence des trekkings au Népal, le tour des Annapurnas (la déesse d'abondance) n'est plus tout à fait le grand classique dont rêve tout "aventurier". La faute au fait que le Népal (l'un des pays les plus pauvres de la planète) s'ouvre aussi au monde moderne. Les routes, et tout ce qui va avec… remplacent petit à petit les chemins… mais faut il pour autant condamner cette évolution. En avons-nous d'ailleurs le droit ? Il y a encore de belles choses à découvrir ou à revivre au Népal, même sur des itinéraires parcourus. Et puis notre tour ne sera pas tout à fait classique car si nous démarrons de Besi Sahar, nous cheminerons par la vallée de Naar Phu qui a longtemps été interdite au trekking et qui a gardé une grande partie de son authenticité. Le passage du lac Tilicho et du Méso Kanto La envisagé dans un 1er temps reste soumis aux aléas météo et il paraissait préférable de revenir sur l'itinéraire normal du Thorong, étape un peu longue surtout à la descente. Le retour se fait toujours vers Mukthinath et Kagbeni aux portes du Mustang par la grande vallée de la Khali Gandaki.
Jean-Marie
Plus d'informations sur le Népal
Un programme de trek
Pour contacter notre guide : jeanmariefressard@orange.fr
Départ 8 h
Repas à Boudboulé sur le terrain de foot. Ils ont mis des petits matelas sur la toile c'est plus agréable pour manger.
A 14 h 30 arrivée à Ngadi Bazar (non y'a pas de super marché !).
Nous camperons sur le terrain de camping (tondu par les vaches et les mûles du coin) du lodge « The seasons ».
Nous profitons des commodités pour mettre sécher les tentes qui sont humides... nous pensons que nous allons bien dormir.
Au début il n'y a pas de musique dans le terrain...comme si la fête qui avait lieu ces jours ci n'était pas d'actualité ici loin de la ville....
Je propose (pour faire rire...) de demander de la musique pour demain matin à 5 h 30 ! Ca fait moyennement rire !
Comme nous avons eu très chaud dans la journée, les plus courageux vont se laver et laver leur linge à la rivière qui est à dix bonnes minutes de marche dans les herbes hautes... Pas de noyé et heureusement car le courant est plus fort qu'il n'y paraît.
Dans la soirée, je me marre lorsqu'un groupe de musiciens et de danseurs arrive sur le terrain, joue et danse de très jolis airs.... Puis les femmes (didi en Népalais) font la quête...!